Un virus venu du froid, qu’on appelle gastro entérite
(Amis poètes... par avance, pardon !)
Tout s’annonçait pourtant pas trop mal : timing douche-repas-préparation de sacs de cours du lendemain, repas-lavage de dents et au lit on éteint, tout ça coincé dans 1h30 (hein, chapeau, hein ! ) C’est donc toute fière de mes talents d’organisatrice-née (qui a dit adjudent-chef ?!) que j’ai bizouillé, éteint les lumières et emprunté l’escalier qui mène à mon nid, mon havre. Le moment de la journée que j’aime le plus : celui où je peux, l’esprit serein et libéré de toutes contingences maternelles, me glisser sous la couette, et me coller contre mon doux pour réchauffer mes vieux os. Un moment d’apaisement à nul autre pareil.
Je dormais donc du sommeil du juste, rêvant d’un joli jardin comme dans le magazine qui avait accompagné mon endormissement (joli jardin qui est supposé, dans mon imaginaire, faire suite à la pelade qui m’en tient lieu pour l’heure… souvenez-vous… mon herbe… ben elle n’a guère poussé depuis)
Crouiiiiic… crouiic-crouic…. J’ouvre un œil, je regarde le réveil… 2 :58. « ça va, au pire j’arriverai bien encore à dormir une heure avant le lever ». Hélas, je connais trop les effets désastreux d’un réveil nocturne. Plus dodo. Crouiiiic. Le parquet grince encore derrière la porte, sur la mezzanine… 3 :08.
*****, il va aller se coucher, oui… ! Je soupire un grand coup, je me lève… prête à mordre celui qui m’oblige à me lever de mon nid pour son pipi nocturne (si je me réveille et que je ne sors pas du lit, je peux espérer me rendormir… si je pose un pied par terre, c’est mort…)
Et là, derrière ma porte je tombe sur mon n°2, le teint vert, l’œil pas frais et le cheveux collé au visage…
- Je crois que j’ai envie de vomir…
- (oh non, pitié… tout mais pas ça…dis-moi que tu as 40 de fièvre, que tu as vu un monstre sous ton lit, mais ne joue pas àVomito, pitiéééé) Je vais te donner quelque chose, viens avec moi.
Après m’être assurée, geste réflexe de mère, qu’il n’avait pas de fièvre et que le ventre était souple… Je descends les escaliers, (zut, l’ampoule est grillée) harcelée par la chatte June qui comme chaque nuit s’ennuie et saute sur tout ce qui bouge. Comme un chien heureux de retrouver un peu de compagnie. Elle saute et se suspend à la ceinture du peignoir enfilé à la hâte, débaroule les escaliers, remonte s’enrouler autour de mes chevilles pendant que je tente de descendre les marches le plus rapidement possible. Et ce n’est pas chose facile, cette jeune chatte, dont le passé de bébé abandonné dans un sac plastique dans un container à poubelles a laissé des séquelles (le peu de neurones dont elle devait disposer à la naissance à du fondre par manque d’oxygène) reste collée à moi.C’est ainsi escortée que je remonte porter au jeune malade pâlichon son morceau de sucre à la menthe. Bien inspirée au passage de prendre la bassine rose.
- Je te laisse la bassine, si ça ne va pas…
- Je peux t’appeler ?
- Mais oui bien sûr, appelle-moi (mais si tu peux t’en sortir seul laisse-moi dormir !)
- ça passe pas…
- ça va passer. Bonne nuit mon chéri.
Ouais je sais ,je suis une mauvaise mère, mon devoir aurait été de rester à son chevet, assise à même le sol à lui porter aux lèvres la bassine de plastique. Je sais. Mais ça je ne peux pas… je lui sais gré de ne rien avoir fait avant de venir me chercher. Et je lui sais gré également de bien savoir viser. Sur ce, je retourne me coucher, je sens déjà que… moi-même… est-ce la fatigue… un peu secouée par là aussi…
Toujours aux prises avec la June, que j’envoie valser d’un plat de pied, comme une crosse de hoquet le palet, je pense à mon lit. Salvateur. Que nenni, il n’en sera rien. June s’ennuie, et quand elle s’ennuie, il lui faut de la compagnie. Elle s’en est allée titiller sa camarade, Foulbazard, qui dormait paisiblement près de l’ordinateur portable. Resté allumé mais en veille pour l’instant. Pauvre Foulbazard, traquée jusque dans son profond sommeil , se réveille en sursaut, se retourne, crache, June en bondit sur le clavier du portable. D’un coup l’écran s’allume et surprise, la jeune chatte couleur réglisse-menthe saute sur Foulbazard. S’ensuit une poursuite sur le bureau entre les deux chattes, qui dérapent en faisant voler les papiers qui s’y trouvent (si si, c’est très bien rangé, le bureau, chez nous !)
Je n’ai pas le courage de les mettre dehors, il faudrait les attraper ET les descendre. Une à la fois.
A ce moment-là, je ne sais pas encore que j’ai tord, June s’occupera en jouant longtemps avec une balle de Lapin, faisant rouler sur le parquet la balle de plastique à grelots sonores… jusqu’à ce qu’elle passe par-dessous la rambarde et finisse sa course un étage plus bas dans un bling bling bling bling (la balle… pas le chat )
Je me recouche. Enfin. Mais hélas, pas pour longtemps. Un grand bruit de borborygmes. Reconnaissable. Je soupire à nouveau profondément. Puis je me lève. 3 :34. Pour me diriger à pas lents vers l’origine des glougloutements. La bassine est à moitié pleine. Mon pauvre bonhomme a bien visé en balançant ses tagliatelles au pesto du précédent repas... ou presque.
- Ce n’est pas grave, chéri.
Changer des draps à 3h1/2 du matin, rincer la taie d’oreiller (avant de mettre en machine, c’est mieux d'ôter les morceaux …N'est-ce pas ma Troll ?!) trouver une nouvelle taie. Nettoyer. Le sol et le visage.
- ça va mieux maintenant, maman.
- (tant mieux, moi ça va pas du tout) C’est bien, tu vas pouvoir dormir un peu.
- Je vais à l’école demain quand même ?
- On verra demain.
Je re-retourne me coucher, me disant que c’est une maladie à la contagion bien fulgurante… ou alors est-ce la fatigue… Mon doux se retourne dans le lit
- Qu’est-ce qu’il y a ?
Entend-il seulement ma réponse ?
4:00. Je ne dors toujours pas. Je ne suis pas la seule. Une petite voix de Lapin qui appelle
- Maaaaamaaaaaan ! mamaaaaan !
C’est trop tôt pour un réveil de lapin, j’ai décidé. Mais lapin affamé n’a pas d’oreilles, encore moins de compassion. Je m’enterre sous la couette et m’enfouie le museau dans l’oreiller. Avec un peu de chance, le Doux ne sera pas complètement endormi… Effectivement, mes vœux sont exaucés et il se lève. Je continue de faire l’endormie, ce qui n’est pas vraiment simulé parce que je sens que je n’arriverais pas à bouger, à décoller du lit même si je le voulais.
4:10 Le camion de ramassage des poubelles.
Puis 4 :42
5:12.
Zut, plus qu’une heure 40 avant que le réveil ne sonne.
5:34. Cest la dernière fois que j’ai vu l’heure avant la fatidique 6 :40.
- Oui, tu vas en cours et tu vas à l’infirmerie si ça ne va pas, tu m’appelles.
- Et si je vomis ?
- Tu vas à l’infirmerie et tu m’appelles.
Oui, je suis une mauvaise mère, indigne, qui abandonne son fils malade pour s’en aller vadrouiller … à s’occuper d’enfants d’autrui en bonne santé. Eux. Et au fil de la journée ma détermination s’émousse. Et au fil de la journée je me sens de plus en plus mal… ça y est, il a jeté son virus sur moi. C’est fait. Bougez pas, je reviens…
… La prochaine fois, promis, JE FOUS MA CAGOULE !!!
Tout s’annonçait pourtant pas trop mal : timing douche-repas-préparation de sacs de cours du lendemain, repas-lavage de dents et au lit on éteint, tout ça coincé dans 1h30 (hein, chapeau, hein ! ) C’est donc toute fière de mes talents d’organisatrice-née (qui a dit adjudent-chef ?!) que j’ai bizouillé, éteint les lumières et emprunté l’escalier qui mène à mon nid, mon havre. Le moment de la journée que j’aime le plus : celui où je peux, l’esprit serein et libéré de toutes contingences maternelles, me glisser sous la couette, et me coller contre mon doux pour réchauffer mes vieux os. Un moment d’apaisement à nul autre pareil.
Je dormais donc du sommeil du juste, rêvant d’un joli jardin comme dans le magazine qui avait accompagné mon endormissement (joli jardin qui est supposé, dans mon imaginaire, faire suite à la pelade qui m’en tient lieu pour l’heure… souvenez-vous… mon herbe… ben elle n’a guère poussé depuis)
Crouiiiiic… crouiic-crouic…. J’ouvre un œil, je regarde le réveil… 2 :58. « ça va, au pire j’arriverai bien encore à dormir une heure avant le lever ». Hélas, je connais trop les effets désastreux d’un réveil nocturne. Plus dodo. Crouiiiic. Le parquet grince encore derrière la porte, sur la mezzanine… 3 :08.
*****, il va aller se coucher, oui… ! Je soupire un grand coup, je me lève… prête à mordre celui qui m’oblige à me lever de mon nid pour son pipi nocturne (si je me réveille et que je ne sors pas du lit, je peux espérer me rendormir… si je pose un pied par terre, c’est mort…)
Et là, derrière ma porte je tombe sur mon n°2, le teint vert, l’œil pas frais et le cheveux collé au visage…
- Je crois que j’ai envie de vomir…
- (oh non, pitié… tout mais pas ça…dis-moi que tu as 40 de fièvre, que tu as vu un monstre sous ton lit, mais ne joue pas àVomito, pitiéééé) Je vais te donner quelque chose, viens avec moi.
Après m’être assurée, geste réflexe de mère, qu’il n’avait pas de fièvre et que le ventre était souple… Je descends les escaliers, (zut, l’ampoule est grillée) harcelée par la chatte June qui comme chaque nuit s’ennuie et saute sur tout ce qui bouge. Comme un chien heureux de retrouver un peu de compagnie. Elle saute et se suspend à la ceinture du peignoir enfilé à la hâte, débaroule les escaliers, remonte s’enrouler autour de mes chevilles pendant que je tente de descendre les marches le plus rapidement possible. Et ce n’est pas chose facile, cette jeune chatte, dont le passé de bébé abandonné dans un sac plastique dans un container à poubelles a laissé des séquelles (le peu de neurones dont elle devait disposer à la naissance à du fondre par manque d’oxygène) reste collée à moi.C’est ainsi escortée que je remonte porter au jeune malade pâlichon son morceau de sucre à la menthe. Bien inspirée au passage de prendre la bassine rose.
- Je te laisse la bassine, si ça ne va pas…
- Je peux t’appeler ?
- Mais oui bien sûr, appelle-moi (mais si tu peux t’en sortir seul laisse-moi dormir !)
- ça passe pas…
- ça va passer. Bonne nuit mon chéri.
Ouais je sais ,je suis une mauvaise mère, mon devoir aurait été de rester à son chevet, assise à même le sol à lui porter aux lèvres la bassine de plastique. Je sais. Mais ça je ne peux pas… je lui sais gré de ne rien avoir fait avant de venir me chercher. Et je lui sais gré également de bien savoir viser. Sur ce, je retourne me coucher, je sens déjà que… moi-même… est-ce la fatigue… un peu secouée par là aussi…
Toujours aux prises avec la June, que j’envoie valser d’un plat de pied, comme une crosse de hoquet le palet, je pense à mon lit. Salvateur. Que nenni, il n’en sera rien. June s’ennuie, et quand elle s’ennuie, il lui faut de la compagnie. Elle s’en est allée titiller sa camarade, Foulbazard, qui dormait paisiblement près de l’ordinateur portable. Resté allumé mais en veille pour l’instant. Pauvre Foulbazard, traquée jusque dans son profond sommeil , se réveille en sursaut, se retourne, crache, June en bondit sur le clavier du portable. D’un coup l’écran s’allume et surprise, la jeune chatte couleur réglisse-menthe saute sur Foulbazard. S’ensuit une poursuite sur le bureau entre les deux chattes, qui dérapent en faisant voler les papiers qui s’y trouvent (si si, c’est très bien rangé, le bureau, chez nous !)
Je n’ai pas le courage de les mettre dehors, il faudrait les attraper ET les descendre. Une à la fois.
A ce moment-là, je ne sais pas encore que j’ai tord, June s’occupera en jouant longtemps avec une balle de Lapin, faisant rouler sur le parquet la balle de plastique à grelots sonores… jusqu’à ce qu’elle passe par-dessous la rambarde et finisse sa course un étage plus bas dans un bling bling bling bling (la balle… pas le chat )
Je me recouche. Enfin. Mais hélas, pas pour longtemps. Un grand bruit de borborygmes. Reconnaissable. Je soupire à nouveau profondément. Puis je me lève. 3 :34. Pour me diriger à pas lents vers l’origine des glougloutements. La bassine est à moitié pleine. Mon pauvre bonhomme a bien visé en balançant ses tagliatelles au pesto du précédent repas... ou presque.
- Ce n’est pas grave, chéri.
Changer des draps à 3h1/2 du matin, rincer la taie d’oreiller (avant de mettre en machine, c’est mieux d'ôter les morceaux …N'est-ce pas ma Troll ?!) trouver une nouvelle taie. Nettoyer. Le sol et le visage.
- ça va mieux maintenant, maman.
- (tant mieux, moi ça va pas du tout) C’est bien, tu vas pouvoir dormir un peu.
- Je vais à l’école demain quand même ?
- On verra demain.
Je re-retourne me coucher, me disant que c’est une maladie à la contagion bien fulgurante… ou alors est-ce la fatigue… Mon doux se retourne dans le lit
- Qu’est-ce qu’il y a ?
Entend-il seulement ma réponse ?
4:00. Je ne dors toujours pas. Je ne suis pas la seule. Une petite voix de Lapin qui appelle
- Maaaaamaaaaaan ! mamaaaaan !
C’est trop tôt pour un réveil de lapin, j’ai décidé. Mais lapin affamé n’a pas d’oreilles, encore moins de compassion. Je m’enterre sous la couette et m’enfouie le museau dans l’oreiller. Avec un peu de chance, le Doux ne sera pas complètement endormi… Effectivement, mes vœux sont exaucés et il se lève. Je continue de faire l’endormie, ce qui n’est pas vraiment simulé parce que je sens que je n’arriverais pas à bouger, à décoller du lit même si je le voulais.
4:10 Le camion de ramassage des poubelles.
Puis 4 :42
5:12.
Zut, plus qu’une heure 40 avant que le réveil ne sonne.
5:34. Cest la dernière fois que j’ai vu l’heure avant la fatidique 6 :40.
- Oui, tu vas en cours et tu vas à l’infirmerie si ça ne va pas, tu m’appelles.
- Et si je vomis ?
- Tu vas à l’infirmerie et tu m’appelles.
Oui, je suis une mauvaise mère, indigne, qui abandonne son fils malade pour s’en aller vadrouiller … à s’occuper d’enfants d’autrui en bonne santé. Eux. Et au fil de la journée ma détermination s’émousse. Et au fil de la journée je me sens de plus en plus mal… ça y est, il a jeté son virus sur moi. C’est fait. Bougez pas, je reviens…
… La prochaine fois, promis, JE FOUS MA CAGOULE !!!
Libellés : L'aventure du quotidien
17 Comments:
Arrête... rien qu'à te lire, ça y est, je crois qu'il est passé chez moi, ton virus vomitif !!!!
J'me sens pas bien !!!
(et si jamais tu connais Vincent Malone, tu connais sans doute sa célèbre chanson sur le vomi...)
Si tu es vasouillarde ce matin , c'est normal aprés une nuit où tu as fait des folies de ton corps...
Yeark ... bon courage pour cette journée qui va être longgguuueee.
Rien de pire pour moi que le vomito ...
Foutu boulot, qui nous tient par la culpabilité pour ces gosses, et nous obligent bien souvent à mettre les notres à l'école, alors qu'ils seraient mieux sous la couette.
Tu n'es pas une mauvaise mère, au fil de ta lecture, je sentais ta fatigue.
L'année dernière, en sortant de la clase, une élève, (la pauvre elle n'avait déjà pas beaucoup de choses pour elle) s'est mise à vomir sur les manteaux des copains, ça partait en jet, je lui dis de filer dans l'atelier contigu à ma classe, et elle a continué à semer le fruit de sa gastro, le long de son périple, il y en a eu partout, sur les tables, et même dans un cartable qui bien sûr était ouvert.
L'était pas contente le gamin quand il est revenu de récré et a constaté l'ampleur des dégâts.
Moi je trouve que dans ce cas , notre difficulté majeure consiste à ne pas mettre la deuxième couche.
Pas toi ?
un jour l'un de mes fils a voulu fêter son anniversaire à coups de vodka orange. Je l'avais averti, que le mélange des deux était dangereux.
Et bien j'ai passé ma nuit à lui tenir les cheveux, parce que bien sûr il ne les avait pas attachés.
Bon j'en ai plein des comme ça. Alors de suis de tout coeur avec toi,
je pense que la nuit prochaine sera bonne, ils ne nous font jamais ça deux nuits de suite.
bon courage et bisous
Morte de rire, ça me rappelle fortement notre semaine entre noel et nouvel an, tous les 2 vautrés à tour de rôle, le cheveux poisseux, la lèvre pendante sur le rebord des toilettes.
A signaler que j'ai quand même cru que j'allais mourrir à 4h du matin, seule, par terre dans les wc ;-)
courage !!
Et bien courage !!
L'anne dernière, Donzelle a vomi EN DORMANT, c'est en allant voir si elle allait bien avant de me coucher moi-même que j'ai découvert Donzelle, dormant dans son vomi, plein ses cheveux longs, plein son lit, plein sa table de chevet ....
Depuis, tous les soirs, je luis fait une tresse !!
Je viens prendre de tes nouvelles
As tu pu dormir ????
J'espère que oui.
Moi c'est une pub de mon portable qui m'a réveillée, j'avais oublié de l'éteindre
arggggggggggg
gros bisous
oh la vache, dès que j'ai ouvert la porte deton blog l'odeur m'a prise à la gorge, tes draps t'aurais du les rincer au Soupline...ça fouette grâve! A part ça tu vas mieux? C koi la charrue et la chandelle ? Une chandelle je C, c'est un truc que l'on peut tenir ou alors C un truc qui pend de ton nez...Beurk !
JE VAIS MIEUX ! Bien, même, grâce à mon jus de gingembre magique pour les gastros (et pour les grippes aussi ! pour plein de trucs ,en fait)
* Ln, Vincent Malone je connais pas, entendu parler mais pas sa musique.
* Mab, des folies de mon corps, si seulement.. :-)
* Mamzelle Maupin, idem pour moi, ce sont les joies de la maternité... on s'y colle sans état d'âme !
* Maitressedecole, bourk, je plainds celles qui s'y collent au ménage en fin de journée dans les écoles maternelles... et la maitresse qui doit avoir le coeur bien accroché, réconforté, ne pas râler (ni vomir...) Un vrai sacerdoce, on ne le dit jamais assez ! Pour le fils, t'as été bien courageuse !
* Khey, torride, hein ?! ah quand tu as vu qq'1 dans cet état une fois ça crée de l'intimité pour la vie !
* SoeurAnne, mon dieu, ça ne m'est encore jamais arrivé... je crise les doigts, je touche du bois... oh damned je n'ose même pas y penser... en retrouver du tout sec sur les cheveux le matin...
* Zaboo, ouiiii, très bien dormi ! tu dors avec ton portable ?! bah dis donc...
* YogiGirl ou Liane fille de la jungle, la chandelle c'est sur le dos, les mains sous le dos et on lève les jambes à la verticale et le bassin dans l'alignement, la charrue, on bascule doucement les jambes bien droites sur l'arrière de la tête, bras tendus derrière la tête et attrape ses orteils avec les mains (c'est clair ?! j'ai un doute...) la vache comme ça tire le dos mais tudju comme c'est bon. Contre-position obligatoire après.
Nan je ne dors pas avec mon portable, mais la cloison entre la salle et ma chambre est si mince, que j'entends tout !!!!!!!
contente de savoir que tu as bien dormi.
bisous
Euh, je te rassure (!) j l'ai retrouvé presque "frais", 1 heure à tout casser, qu'elle était couchée.
Et alors, ça va mieux ?
mais boudiou C bien sur ! bonne journée la belle chandelle
Merci d'être passée, j'ai fait ce que je pensais être nécessaire.
gros bisous
Si ça peut te consoler, la même nuit à la même heure la situation était la même à la maison SAUF QUE mon grand n'a pas trouvé la porte de sa chambre (pourtant pas compliqué - virage à 90° à droite et tout droit) et qu'il a fait son vomito partout sur la commode (ouske y'avait plein de choses dessus : bouquins et autres jouets), arrosé le mur et jusque dans son armoire qu'à toujours la porte ouverte bien évidemment !
Sachant qu'il avait bu un chocolat chaud avant de se coucher et manger aussi du gâteau (fondant au chocolat) je te laisse deviner la couleur dudit vomito !!
J'ai vu les heures défiler tout pareil après !
Oh lala, tu m'as bien fait rire FD et en ce moment crois moi, ca fait un bien fou.
J'ai connu une situation similaire il y a une quinzaine avec mon fils, il était pour ma part un peu moins de 2h du matin ...
Deux différences cependant, plutot trois, je n'ai pas de chat, la bassine était bleue et enfin, mon fils vise beaucoup moins bien que le tien, il nous a tapissé les murs ... le zhomme s'est levé la première fois, moi la seconde et pour la troisième, je l'ai envoyé dormir avec son père et la bassine toujours bleue à côté du lit.
Ce soir là, nous avions mangé des spaghettis bolognaises
Depuis, nous aussi avons investi dans un lot de cagoules
J'en ai d'autres si vous voulez.....................
IL FAUT ENLEVER LES MORCEAUX AVANT DE METTRE DANS LA MACHINE ???
AH BEN J'COMPREND MIEUX !!!
Sinon je suis de tout coeur avec toi ma dernière nuit ressemble un peu à la tienne le vomito en moins mais les réveils successifs étaient bien présents !!!
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