Libellés : Elle
posted by FD-Labaroline at 11/27/2006
je t'ai déjà dit ce que je pensais de ton écriture...;-) Great !Je voudrais revenir sur le fameux " mandat transgénérationnel". OUI nous avons des cadavres dans nos placards que nous refilons ou pas à nos enfants. Nous pouvons stopper la machine et être des adultes éclairés, des parents responsables. C'est le moins que nous puissions faire pour nos enfants qui n'ont rien demander qu'à être heureux. Maintenant que tu as retrouvé le goût des petits matins qui chantent, tu peux être fière même si tout est à recommencer chaque jour, quand on a de bonnes fondations, ça aide !Keep going Girl !
Et bien il n'y a rien à dire...Quel courage et quelle force...Juste, j'essaie d'en tirer des enseignements pour aider une amie qui part avec son petit garçon parce que décidemment, pour elle aussi, même si ce ne sont pas les mêmes, il y a d'énormes cadavres dans le placard...
Soufflée je suis. De tenir en tes mots ce petit instant, ces quelques secondes, ce petit instant fragile et ténu, ces quelques secondes comme suspendues du temps où l'on donne soudain un (autre) sens à sa vie. Ou plutôt : où la vie dessine un autre chemin sous nos yeux. J'avais beau me douter d'une certaine forme de conclusion, je refusais de voir la période qui la précédait... Tes mots ont la précision du bistouri d'un chirurgien. Ils incisent la plaie avec précision, sacrément et toujours justes. Merci de ces quelques secondes...
:)
encore ;-)
* Bérangère, pour ne pas refiler nos cadavres à nos enfants (en décuplé avec le temps, comme les avalanches...) il faut que nous soyions conscients de l'existencede ces cadavres d'une part et du ma lqu'ils peuvent faire d'autre part. ça signifie remettre ses propres parents en question... et ça... :-((* Soeur Anne, je l'ai déjà dit, il ne s'agit pas de courage mais d'instinct de survie et quand il s'agit de défendre ses enfants on devient louve. Reste aux cotés de ton amie, que jamais elle ne se lasse, se fatigue, baisse les bras, se laisse hypnotiser par le chant des sirènes qui tenteront de la faire revenir sur ses pas. Et dis-lui que les choses s'apaisent avec le temps. Elles ne se résolvent pas, elles s'apaisent juste assez pour qu'on puisse revivre mieux, sans même boiter.* Anitta, il y a des instants que notre mémoire saisit et qu'elle n'éfface pas, jamais. On a juste parfois du mal à accéder à ces moments-là, à réouvrir la mémoire. Mais une fois que la porte est entre-baillée, et tu le sais, tout est là, tout chaud, c'est de l'écriture automatique.* Isadora :-** Khey, c'est un faux générique de fin...
Ah, j'attendais le 3/3 avec impatience. J'aime de lire et j'aimerais lire qu'Elle a trouvé bonheur et équilibre aujourd'hui. Peut-être que tu confirmeras ça dans un prochain billet.
J'aime TE lire et pas "de lire" (je devrais me relire, moi) ;o)
Même si je me doutais de la fin certains faits que tu relates sont saisissant.Il est tellement facile de voir la paille dans l'oeil de son voisin et de ne pas voir la poutre qu'on a dans le sien.Je ne parviens pas à comprendre comment ton ex mari n'a pas jouer profil bas lors de votre séparation étant donné la situation dans laquelle il se trouvait lui même. Mais peut être s'est il dit que tu rendrais tout public alors voulait il en agissant ainsi t'obliger à rester ? Qui sait ?Enfin comme tu dis en certain cas on a l'instinct de survie !!BisesLa Troll Family
Ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent.W. ChurchillJ'ajoute qu'il faut juste prendre le temps de les regarder. Parfois, on y trouve la réponse à nos questions...J'aime bien te lire.
Merci pour la grâce de ton écriture...
* Kamaïa, elle a trouvé autre chose, c'est sûr, mieux, c'est indiscutable ! * La Troll, tout a été rendu public, mais il reste pour tous LA victime éternelle de mon manque de patience et de compréhension ("pauvre homme, il a perdu pieds quand il a appris pour sa femme"... Il voulait me garder, c'est certain, d'ailleurs il m'attend toujours... (brrrr, ça me fait froid dans le dos...)* DM, j'espère que l'echo n'est pas trop douloureux...* Rosalie, tout à fait, c'est la nuit qu'on se rapproche le plus des étoiles, d'ailleurs. J'ai trouvé la mienne et je m'y suis posée depuis plus de 4 ans !* Amadine, de rien... reviens souvent!
Comme quoi l'amour, le vrai, le ressenti, le senti, le vécu ... fait des miracles
qu'est -ce que j'aimerais savoir écrire comme toi.
c'est beau et terrible à la fois...
Très beau à lire mais sûrement difficile à vivre.
Je suis époustouflée, je découvre ton blog ce soir... je suis époustouflée !
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"Tu crois que mon amour a fondu sur toi comme un éclat de feu, qu'il aurait pu brûler un coeur autre que le tien, tu te trompes, il te cherchait, te guettait, t'avait dessiné à grands traits, il retenait sa flamme, il piaffait, protestait, il ne te trouvait pas, il s'énervait alors, il me chauffait le sang, me brûlait les yeux..." KATHERINE PANCOL. Et monter lentement dans un immense amour...
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17 Comments:
je t'ai déjà dit ce que je pensais de ton écriture...;-) Great !
Je voudrais revenir sur le fameux " mandat transgénérationnel". OUI nous avons des cadavres dans nos placards que nous refilons ou pas à nos enfants. Nous pouvons stopper la machine et être des adultes éclairés, des parents responsables. C'est le moins que nous puissions faire pour nos enfants qui n'ont rien demander qu'à être heureux. Maintenant que tu as retrouvé le goût des petits matins qui chantent, tu peux être fière même si tout est à recommencer chaque jour, quand on a de bonnes fondations, ça aide !Keep going Girl !
Et bien il n'y a rien à dire...Quel courage et quelle force...
Juste, j'essaie d'en tirer des enseignements pour aider une amie qui part avec son petit garçon parce que décidemment, pour elle aussi, même si ce ne sont pas les mêmes, il y a d'énormes cadavres dans le placard...
Soufflée je suis. De tenir en tes mots ce petit instant, ces quelques secondes, ce petit instant fragile et ténu, ces quelques secondes comme suspendues du temps où l'on donne soudain un (autre) sens à sa vie. Ou plutôt : où la vie dessine un autre chemin sous nos yeux. J'avais beau me douter d'une certaine forme de conclusion, je refusais de voir la période qui la précédait... Tes mots ont la précision du bistouri d'un chirurgien. Ils incisent la plaie avec précision, sacrément et toujours justes. Merci de ces quelques secondes...
:)
encore ;-)
* Bérangère, pour ne pas refiler nos cadavres à nos enfants (en décuplé avec le temps, comme les avalanches...) il faut que nous soyions conscients de l'existencede ces cadavres d'une part et du ma lqu'ils peuvent faire d'autre part. ça signifie remettre ses propres parents en question... et ça... :-((
* Soeur Anne, je l'ai déjà dit, il ne s'agit pas de courage mais d'instinct de survie et quand il s'agit de défendre ses enfants on devient louve. Reste aux cotés de ton amie, que jamais elle ne se lasse, se fatigue, baisse les bras, se laisse hypnotiser par le chant des sirènes qui tenteront de la faire revenir sur ses pas. Et dis-lui que les choses s'apaisent avec le temps. Elles ne se résolvent pas, elles s'apaisent juste assez pour qu'on puisse revivre mieux, sans même boiter.
* Anitta, il y a des instants que notre mémoire saisit et qu'elle n'éfface pas, jamais. On a juste parfois du mal à accéder à ces moments-là, à réouvrir la mémoire. Mais une fois que la porte est entre-baillée, et tu le sais, tout est là, tout chaud, c'est de l'écriture automatique.
* Isadora :-*
* Khey, c'est un faux générique de fin...
Ah, j'attendais le 3/3 avec impatience. J'aime de lire et j'aimerais lire qu'Elle a trouvé bonheur et équilibre aujourd'hui. Peut-être que tu confirmeras ça dans un prochain billet.
J'aime TE lire et pas "de lire"
(je devrais me relire, moi) ;o)
Même si je me doutais de la fin certains faits que tu relates sont saisissant.
Il est tellement facile de voir la paille dans l'oeil de son voisin et de ne pas voir la poutre qu'on a dans le sien.
Je ne parviens pas à comprendre comment ton ex mari n'a pas jouer profil bas lors de votre séparation étant donné la situation dans laquelle il se trouvait lui même. Mais peut être s'est il dit que tu rendrais tout public alors voulait il en agissant ainsi t'obliger à rester ? Qui sait ?
Enfin comme tu dis en certain cas on a l'instinct de survie !!
Bises
La Troll Family
Ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent.
W. Churchill
J'ajoute qu'il faut juste prendre le temps de les regarder. Parfois, on y trouve la réponse à nos questions...
J'aime bien te lire.
Merci pour la grâce de ton écriture...
* Kamaïa, elle a trouvé autre chose, c'est sûr, mieux, c'est indiscutable !
* La Troll, tout a été rendu public, mais il reste pour tous LA victime éternelle de mon manque de patience et de compréhension ("pauvre homme, il a perdu pieds quand il a appris pour sa femme"... Il voulait me garder, c'est certain, d'ailleurs il m'attend toujours... (brrrr, ça me fait froid dans le dos...)
* DM, j'espère que l'echo n'est pas trop douloureux...
* Rosalie, tout à fait, c'est la nuit qu'on se rapproche le plus des étoiles, d'ailleurs. J'ai trouvé la mienne et je m'y suis posée depuis plus de 4 ans !
* Amadine, de rien... reviens souvent!
Comme quoi l'amour, le vrai, le ressenti, le senti, le vécu ... fait des miracles
qu'est -ce que j'aimerais savoir écrire comme toi.
c'est beau et terrible à la fois...
Très beau à lire mais sûrement difficile à vivre.
Je suis époustouflée, je découvre ton blog ce soir... je suis époustouflée !
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