Vanité, vanité...
Pas la tête à ça. Pas la tête à ici.
Avec les beaux jours, les adventices sont de plus en plus présentes. Elle ont passé l'hiver au chaud, oubliées dans nos esprits occupés à maintenir le cap et tisser des garde-fous.
Elles refont surface avec violence. Elles ne sont pas venues seules, elles sont accompagnées de leurs collatéraux.
Des années de lutte(s) vaine(s).
Qu'il est difficile de regarder l'un de ses enfants sombrer, parce qu'il refuse toute aide, toute main tendue depuis des années. Et pourtant, de partout elles sont venues, les mains amies.
Fluctuat nec mergitur...
Notre famille recomposée est faite d'autant de radeaux bringuebalants, rattachés au radeau-mère... Rattachés... Ou pas.
Je cherche une nouvelle prise. Nous cherchons tous. Avant qu'il ne sombre, corps et biens.
Chris Isaac
Avec les beaux jours, les adventices sont de plus en plus présentes. Elle ont passé l'hiver au chaud, oubliées dans nos esprits occupés à maintenir le cap et tisser des garde-fous.
Elles refont surface avec violence. Elles ne sont pas venues seules, elles sont accompagnées de leurs collatéraux.
Des années de lutte(s) vaine(s).
Qu'il est difficile de regarder l'un de ses enfants sombrer, parce qu'il refuse toute aide, toute main tendue depuis des années. Et pourtant, de partout elles sont venues, les mains amies.
Fluctuat nec mergitur...
Notre famille recomposée est faite d'autant de radeaux bringuebalants, rattachés au radeau-mère... Rattachés... Ou pas.
Je cherche une nouvelle prise. Nous cherchons tous. Avant qu'il ne sombre, corps et biens.
Chris Isaac
Libellés : Mes poussins, vie de recompo