Journée de*****
Edit du 30 juin : BOUHOUHOUHOU ! je sais pas ce que j'ai mais j'étais persuadée que c'était mercredi le 02 juillet... et comme je ne bosse pas mercredi, je me voyais en vacances dès mardi soir... J'ai appris fortuitement hier lundi que non, les vacances c'est JEUDI SOIR ! Ainsi donc, je n'ai PAS FINI !
Ouais, plaignez-moi !
VDM*. Sans rire. Une journée à te faire regretter la journée de la veille, qui déjà n'était pas top du tout mais nettement moins pire, à comparer.
Le Zébulon, toujours prêt à bondir et à speeder sauf quand nécessaire (s'habiller pour aller à l'école, prendre son petit déjeuner un jour de classe...trouver/mettre ses chaussures...son sac...) n'était pas très en avance. Comme d'hab', tu me diras...
Vautré sur le canapé au lieu d'être en train de se laver les dents, arborant un T-shirt (propre de 10 mn) auréolé de tâches de cacao frais au moment de partir... Bref, une fois le Zébulon enfin chaussé, sac en bandoulière, le cheveux hirsute (on ne va pas s'attarder sur le coiffage, c'est 15 mn de gagnées !) le Lapin Bondissant qui trottine près de lui (elle est prête à temps, elle, encore toute à la joie de sa vie d'écolière toute neuve!) nous nous dirigeons vers le carrosse familial qui les déposera en chemin avant de me conduire vers mes enviables aventures zépiennes.
Zwip zwip, rassurant déclenchement de la serrure à distance. Harnachement des uns, des autres. Et au moment d'introduire la clé dans le neiman (tu sais, le truc sous le volant à droite, je dis ça pour ceux qui ne se souviendraient plus des antiques voitures à clés !)...
Aaaaahhhhhh.... mince..... c'est quoi ce trou ?! Un grand trou béant à la place de ma serrure ! Je me dis que la voiture est vieille, le bidule se serait-il décroché lorsque j'ai retiré la clé la veille (Hulk, my name is Hulk)? A regarder de près le bidule à mes pieds, il m'a l'air bien explosé pour être juste mort de vieillesse... Et en ressortant, je constate, dépitée, qu'il en est de même avec la serrure côté conducteur.
Oh pinaise, dirait Omer.
La vaaaaaache ! Ils se sont attaqué à la voiture la PLUS POURRITE du coin !
Je t'assure, les joliettes du voisinage, intactes. La plus vieille mais aussi peut être la seule qu'ils croyaient savoir démarrer ?
N'empêche, désharnacher la petite troupe, décharger les fauves, "Je crois qu'on sera en retard ce matin, les nains". Téléphoner, blablablabla.Trouver une voiture de location pour Doux, l'y déposer (fallait bien lui aussi qu'il aille travailler, le brave homme, puisque je prenais du coup sa charette).
Tout ça devient nettement moins simple lorsqu'on est en zone semi-rurale, à 25 km de son lieu de travail et à 10 km de l'école des Groumpfs.
Une contrariété n'arrivant jamais seule, c'est Ainé dans la journée qui m'appelle pour m'informer qu'il faisait "sauter" ses derniers cours pour aller chez son pote faire de la guitare, et que d'ailleurs si le lycée appelle, ça serait super sympa de leur confirmer que oui oui j'ai bien mis dans son carnet le mot l'autorisant à ne plus aller en cours ! T'as raison, crois-y bien fort mon poussinou !
La fin d'année scolaire est chez nous toujours un peu difficile, toutes fatigues accumulées et confondues...
Moi je te le dis, là, entre quat'z'yeux...
VIVEMENT MARDI PROCHAIN, 16h30 !
*vie de merde
Ouais, plaignez-moi !
VDM*. Sans rire. Une journée à te faire regretter la journée de la veille, qui déjà n'était pas top du tout mais nettement moins pire, à comparer.
Le Zébulon, toujours prêt à bondir et à speeder sauf quand nécessaire (s'habiller pour aller à l'école, prendre son petit déjeuner un jour de classe...trouver/mettre ses chaussures...son sac...) n'était pas très en avance. Comme d'hab', tu me diras...
Vautré sur le canapé au lieu d'être en train de se laver les dents, arborant un T-shirt (propre de 10 mn) auréolé de tâches de cacao frais au moment de partir... Bref, une fois le Zébulon enfin chaussé, sac en bandoulière, le cheveux hirsute (on ne va pas s'attarder sur le coiffage, c'est 15 mn de gagnées !) le Lapin Bondissant qui trottine près de lui (elle est prête à temps, elle, encore toute à la joie de sa vie d'écolière toute neuve!) nous nous dirigeons vers le carrosse familial qui les déposera en chemin avant de me conduire vers mes enviables aventures zépiennes.
Zwip zwip, rassurant déclenchement de la serrure à distance. Harnachement des uns, des autres. Et au moment d'introduire la clé dans le neiman (tu sais, le truc sous le volant à droite, je dis ça pour ceux qui ne se souviendraient plus des antiques voitures à clés !)...
Aaaaahhhhhh.... mince..... c'est quoi ce trou ?! Un grand trou béant à la place de ma serrure ! Je me dis que la voiture est vieille, le bidule se serait-il décroché lorsque j'ai retiré la clé la veille (Hulk, my name is Hulk)? A regarder de près le bidule à mes pieds, il m'a l'air bien explosé pour être juste mort de vieillesse... Et en ressortant, je constate, dépitée, qu'il en est de même avec la serrure côté conducteur.
Oh pinaise, dirait Omer.
La vaaaaaache ! Ils se sont attaqué à la voiture la PLUS POURRITE du coin !
Je t'assure, les joliettes du voisinage, intactes. La plus vieille mais aussi peut être la seule qu'ils croyaient savoir démarrer ?
N'empêche, désharnacher la petite troupe, décharger les fauves, "Je crois qu'on sera en retard ce matin, les nains". Téléphoner, blablablabla.Trouver une voiture de location pour Doux, l'y déposer (fallait bien lui aussi qu'il aille travailler, le brave homme, puisque je prenais du coup sa charette).
Tout ça devient nettement moins simple lorsqu'on est en zone semi-rurale, à 25 km de son lieu de travail et à 10 km de l'école des Groumpfs.
Une contrariété n'arrivant jamais seule, c'est Ainé dans la journée qui m'appelle pour m'informer qu'il faisait "sauter" ses derniers cours pour aller chez son pote faire de la guitare, et que d'ailleurs si le lycée appelle, ça serait super sympa de leur confirmer que oui oui j'ai bien mis dans son carnet le mot l'autorisant à ne plus aller en cours ! T'as raison, crois-y bien fort mon poussinou !
La fin d'année scolaire est chez nous toujours un peu difficile, toutes fatigues accumulées et confondues...
Moi je te le dis, là, entre quat'z'yeux...
VIVEMENT MARDI PROCHAIN, 16h30 !
*vie de merde
Libellés : L'aventure du quotidien